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Annemasse 2 – Center 7H

Le X-File de CENTER7 : Fiche n°7 : Thierry

Ton surnom : La Bouille
Ton âge : presque trop vieux pour le squash
Ta couleur préférée, et pourquoi : orange KTM
Ton meilleur coup au squash : le let ou le stroke
Ton ou tes joueuses et/ou joueurs préférés : pas dans le squash, Luc Abalo / Ana Ivanovic (pour les connaisseurs)
Ce que t’aime dans Center 7 :  boire la tournée a JP…
Une qualité que tu apprécies, dans le squash ou dans la vie : l’honnêteté
Un défaut que tu détestes, dans le squash ou dans la vie : l’incivilité
Un plat  : le hachis Parmentier ( de ma grand mère )
Un film : Un air de famille de Cédric Klapish
Un album : THE WALL
Un livre :  le calendrier AUBADE
Un passe-temps ou un hobby : boire une bonne bouteille de rouge… Une très bonne !!!!!!
Une devise ou un proverbe : à vivre, on apprend toujours quelque chose

« Et là, tu la sens la loose? »

Ce soir-là, c’était une soirée spéciale, pour les initiés seulement. Pas d’invités, juste des élus. Pas de vertu, juste de la lubricité. Et captain Yoda avait attisé ses troupes: « çà va être chaud les gars! » avait-il mailisé dans la semaine, juste de quoi allécher ses hommes et faire oublier les graveleux « bah alors, tu viens plus aux soirées là! ». D’ailleurs le nom d’Annemasse portait le vice ravivant dans nos cerveaux la coupe putois des années 1980 et le plagiat du Rouge et Noir de Stendhal où pour rappel un séminariste puceau s’éprend dans un même livre,  de plusieurs bourgeoises, le tout sous les yeux amusés du marquis de La Mole. Alors oui, l’issue de cette soirée ne pouvait se trouver qu’entre tare et dépravation. Et à la question introductive lachée par nos hotes en arrivant au club « alors les gars, qu’est ce qu’on vous met ce soir? », la réponse ne pouvait qu’être licencieuse à son tour… « une 412! Et bien profonde s’il vous plait! » car oui les bouches pleines et écoeurées ne nous autorisent pas l’impolitesse. Ah la 412! 4 branlées et pas de jalouses! 4 roustes et vite à la binouze! 4 heures de route pour 4 matches perdus 3 jeux à 0, 12 jeux à sec. Cà résonne comme une « toute première fois »dans le plus profond des abysses.

En 4, Nico Guérinot prend sans broncher contre Manu Paillet. Il aurait pu se sortir les doigts quand il menait 8/5 dans le deuxième mais visiblement la place était déja prise.
En 1, captain Yoda récupère un petit jeune, Juan-Pablo Garzon-Stouvenel, sympa et propre mais aussi sympa et propre permettant à l’ancien d’espérer dans le 3 ème. Mais, voilà Juan était vraiment sympa et propre. (11/13)
En 2, Yoyo se coltine Ju Pintado et titille le jackpot dans le premier avant de retourner à son Rapido quotidien. Visiblement, il avait pas les bons chiffres.
En 3, Mister T Balbo affronte Olive Macaire et les lois de la physique pour aboutir à un axiome digne de Charly et Lulu: courir, çà fatigue! (et ce mec là tient une salle de sport!?!) Le score est aussi rythmé que le match 7/11, 7/11, 7/11.

Alors au final captain, qu’est ce qui fut vraiment chaud?
– trouver une équipe de 4 valides pour ce déplacement?
– déboiter sans regarder à droite sur l’ilot central du péage de Chambéry après avoir récupéré Mister T Balbo?
– faire marche arrière à l’heure de pointe dans la voie d’autoroute « télépéage »?
– se faire flasher au retour (je propose d’ailleurs et officiellement une nouvelle règle pour Center 7: l’amende est partagée par tous les joueurs de l’équipe en fin de saison)?
– ou alors porter un sous-vêtement noir mais ouvert sur le monde extèrieur grace à un vasistas transparent?

Nous on a notre idée captain… et Yoyo a la photo! « Et là, tu la sens la loose? »

Nico

Center 3H – Annecy 1

Center 5H – Gières 1

Center 6H – Annemasse 5

Center 6H – City Green 2

Echirolles 2 – Center 5H

Encore raté …

Pour son premier match de l’année 2016 à domicile, Center 5, aussi connue sous le nom de « l’Incubateur », recevait Echirolles 2 et, bien que déterminée à remporter sa première victoire de la saison, a de nouveau échoué de peu.

Tout avait pourtant si bien commencé : nous étions à l’heure, nos compétiteurs n’avaient, en apparence, pas aligné leurs meilleurs joueurs et Anthony avait même renoncé à l’apéro du vendredi soir pour venir encourager ses co-équipiers.

La rencontre pouvait commencer…

Après quelques parallèles d’échauffement sur le court n°6 et les conseils de mon capitaine, jouant en 4, j’étais fin prêt à en découdre avec mon adversaire du jour : Sylvain ALLONCLE.

Les premiers échanges se passèrent plutôt bien pour moi, peu habitué à coller au score, je me retrouvai même à devancer de quelques points mon adversaire. Mais hélas trop de fautes directes ne me permirent pas de remporter le premier jeu, que je concédai 6 à 11. Malgré les encouragements de mes coéquipiers, je me crispais alors que son adversaire lui se détendait au fil des échanges pour gagner en fluidité. Peu à peu, mes parallèles perdaient en précisions, mes amortis se ramollissaient et le match fut rapidement plié 5/11, 3/11.

Puis s’en fut au tour de Captain Eric, bien décidé à faire parler l’expérience et à montrer l’exemple à suivre à ses jeunes coéquipiers. Son adversaire du jour : Eric CAILLAT. Les deux joueurs se connaissaient déjà, puisqu’ils avaient déjà eu l’occasion de se rencontrer au match aller au Break Sportif. Cette première rencontre s’était soldée par la victoire de l’échirollois. L’heure de la revanche avait donc sonnée.

Les premiers échanges se succédèrent. Après quelques minutes notre capitaine parvient à prendre la main, à l’aide de ses fameux double-mur inversés dont lui seul à le secret (et le copyright) « les trioux© » : un savant mélange de mouvement du poigné gauche et de l’épaule pour amener la balle à faire un double mur juste devant le frontale et surtout à l’opposé de là où l’adversaire l’attendait. Le premier échange fut facilement remporté 11/8.

Le deuxième jeu fut déterminant.

Après une lutte acharnée des deux Eric, des échanges interminables, et des retournements de situation à répétition, notre capitaine remporta, à bout de force, le jeu 17/15.

Après une courte pause, les deux joueurs retournèrent sur le court pour, on l’espérait du côté de Center 5 un ultime jeu. Hélas Eric CAILLAT prit le partie de relancer le match sur des bases toujours plus rapides, pour tirer à lui les bénéfices de l’interminable 2^e jeu. Le 3^e jeu se solda pour une victoire de l’échirollois 4/11.

Tout semblait encore possible pour center 5, mais quelques fautes directes de notre capitaine et une anticipation sur les « Trioux© » eurent raison du 4^e jeu, 4/11.

Le capitaine décidé à montrer à ses partenaires qu’il ne faut jamais rien lâcher et qu’un match n’est jamais perdu employa ses dernières forces dans le 5^e jeu. Cependant, les forces investies dans le 2^e jeu manquaient cruellement et Eric CAILLAT s’imposa 7/11 dans le 5^e et dernier jeu.

Quentin autre nouvelle recrue de la saison s’élança à son tour contre Stéphane TARRAJAT. Sur le papier le joueur d’Echirolles semblait devoir remporter facilement le match, mais s’était sans compter sur la fougue du jeune pratiquant de canicross (aussi appelé cani-course). Quentin fit un match impressionnant, il était absolument sur toutes les balles, devant, derrière, en haut, en bas, à gauche, à droite… cette soirée là !

Surpris l’échirollois concéda le premier jeu 12/10, puis sembla se crisper durant les jeux suivants. En effet, bien que plus technique, Stéphane semblait remettre systématiquement Quentin dans le jeu…Cependant, son expérience et sa technicité finirent par avoir raison de Quentin et ce dernier s’inclina non sans résistance 8/11, 8/11, 6/11.

Il ne restait plus que Seb pour sauver l’honneur de center 5 et faire plier Paul DOUBEK. Malgré une douleur à l’épaule Seb s’accrocha et fit plier son adversaire à plusieurs reprises. Déterminé à remporter la victoire le jeune squasheur ne se laissait pas déstabiliser par les grimaces du « vieux singe ».

Mais au fil de la rencontre la tension était de plus en plus palpable sur le court, les strokes se multipliaient et les échanges s’allongeaient. Par intermittences les joueurs gagnèrent les jeux.

Le dernier jeu fut terriblement intense et aucun des joueurs ne voulait lâcher le match. Malgré des parallèles bien placées Seb ne parvient pas à se dépatouiller de la ruse de Paul et c’est finalement l’expérience de ce dernier qui a parlée au terme d’un match intense 9/11, 13/11, 9/11, 11/8 et 11/13.

La soirée c’est soldée (encore diront les mauvaises langues de center 6) par un 0 sur 4, mais Center 5 a vaillamment résisté et, à l’image du 15 de France (qui lui a battu l’Italie), cette équipe est faite pour monter en puissance et pour montrer ses talents les saisons à venir. Les incubés sont bien décidés à en découdre ! Rendez-vous le 12/02 à Center contre Gières.

Aurélien

Annemasse 5 – Center 6H

Challes 4 – Center 5H

Gières – Center 5H