Center 3 vs Annecy 1
Soirée « détendue du slip » (au sens propre malheureusement…)
Victoire 3 matchs à 1 pour nos adversaires.
Fin de saison.
Il était temps.
Soirée « détendue du slip » (au sens propre malheureusement…)
Victoire 3 matchs à 1 pour nos adversaires.
Fin de saison.
Il était temps.
Mauvaise opération pour nous ce Vendredi à Echirolles…
JP lance le bal et prend cher contre un Thomas bien en place. 3-0 rondement menés, peu de place au doute hélas.
Franck enchaine contre Florent et égalise à une rencontre partout. Victoire 3-1 très serrée. C’est de plus en plus dur contre Florent, j’en profite tant que ca dure!
Gilles caviarde 5 balles de jeu dans les 2 premiers jeux qu’il a globalement bien contrôlés mais n’a pas été capable de conclure. Il prend cher dans le 3e pour un défaite au gout amer: 3-0.
Et enfin Serge n’a jamais trouvé la clé contre un Momo qui n’a rien lâché et l’a rendu inoffensif. Encore 3-0.
Une nouvelle défaite pour nous alors vu que nos collègue de Center 4 sont allés cherchés le nul gagnant à Annecy: Y’a comme une odeur de R3… Dernière rencontre contre Annecy à domicile Vendredi prochain.
Faudra faire mieux pour finir sur une note plus douce!
Franck.
L’équation est simple: à égalité de points avec nos camarades de Center 4, tous les points vont compter en cette fin de saison.
C’est donc une équipe considérablement rajeunie qui accueillait ce Vendredi Annemasse 3, puisque pour la première fois en 3 ans notre âge cumulé atteignait à peine 150 ans, soient 25% de moins que d’habitude. Et victoire impérative pour nous contre nos adversaires du soir classés derrière nous.
Il faut dire qu’ils ne sont venus qu’à 3, et donc ben, forcément à 3 on est 25% plus jeunes qu’à 4. Bon au moins en maths on est bien. Et puis on mène 1 match à 0.
Premier match, JP rencontre Christian, pour la plus grande satisfaction de ce dernier. Un premier jeu en demi-teinte de la part les 2 joueurs, JP qui se fait contrer quand il pense prendre l’avantage; le jeu tombe finalement dans l’escarcelle du patron. Le 2e, copie conforme du 1er, voit JP oublier d’accélérer et se faire endormir par Christian qui recolle à 1 partout. JP remet la gomme dans les jeux 2 et 3, tous remportés. Par contre faudra peut-être envisager d’arrêter de jouer le Vendredi après-midi quand il y a match le soir. C’est la spécialité de Patrick, mais c’est pas une raison pour qu’on s’y mette tous!
Deuxième match, votre serviteur contre Xavier. Un match tout bizarre contre un adversaire qui joue à peu près le même jeu que moi. Oh punaise c’est galère de jamais savoir où va finir la balle. Je sais pas comment font mes adversaires. Bref. Chacun ses problèmes. Moi, je perds le 1er bêtement, gagne les 2 et 3 bêtement, perd le 4e après avoir caviardé une balle de match toute faite puis finis par m’imposer dans le 5e (manque de gaz côté Xavier, qui a en ce qui me concerne fait un très bon match et m’a souvent fait perdre le Nord).
Troisième et dernier match: Gilles, opposé à JC. 1er jeu à sens unique. JC rentre tout (top longueurs, magnifiques shots, extra boasts), Gilles est au fraises, bien calé à 2 mètres derrière le T et visiblement bien décidé à ne pas franchir la ligne médiane. 11-2. Ça sent la fessée. Et puis en fait pas du tout: Gilles remporte les jeux 2 et 3 en se battant plus (et en allant chercher quelques balles devant), son adversaire est beaucoup moins précis. 4e jeu, un peu à l’image du 1er: Gilles est rapidement mené, 9-4 puis 10-5. Et puis là, plus de son plus d’image chez JC, une ou deux balles chanceuses de Gilles. La victoire a choisi son camp: 12-10 pour Gilles, qui double son capital victoires cette année en équipe et ne peut donc mathématiquement plus être dépassé par Olivier.
Une victoire qui fait du bien, mais qui ne nous permet pas de nous détacher puisque nos adversaires mais néanmoins amis de la 4 ont arraché la victoire face à Corbas, également réduits à 3. La saison est longue, et la bataille du fond de tableau n’est pas finie! Ca va se jouer à 1 ou 2 points qu’il faudra gratter… RDV pour nous dans 15 jours, à l’exterieur à Echirolles.
Franck.
Match reporté de la semaine précédente (ndlr : pour cause d’Open du soir), donc du coup difficile d’avoir tous les joueurs. Heureusement, Center 6 nous a aidé en nous prêtant 2 joueurs : Franck et Guilhem.
Ils ont été impériaux. Franck par son déplacement a rendu son adversaire incapable de trouver comment faire des points 3/0. Guilhem, grâce à un style inimitable et imprévisible, a complétement empêché son adversaire de développer son jeu, que nous ne connaissons pas à ce jour… 3/0.
Les Centers d’origine, Franck et Gilles n’étaient pas au top : Franck a démarré son match (contre Frédéric) avec une grosse migraine, Gilles a joué comme une brute face a une brute (Gaëtan) mais en faisant moins de points que lui…
Autre lecture plus mathématique : 2 de Center3 , 2 de Center6, les F gagnent , les G perdent, ou alors les droitiers gagnent, les gauchers perdent . Ah oui aussi il y avait let sur la tartiflette… 😉
Gilles
Gilles ayant sauvé Center 3H de la défaite, il a l’immense honneur d’écrire le compte-rendu !
Alors tout d’abord, il faut savoir que JP jouait en premier. Il tombe sur un joueur bondissant , Benoit ,qu’il envoie dans tous coins du court mais qui revient toujours avec la balle. Il perd le premier jeu , fait parler le metier et prend le second, perd les deux suivants et lance une contre attaque sur les macaronis bolos avec tout le succes qu’on lui connait ……
Ensuite Franck qui joue en deuxième même si c’est le un , parce que JP joue en premier … Je précise sinon on s’y perd ! Il rencontre un client connu , qui bouge beaucoup , mais il nous sort des coups à la Franck , en particulier des séries de lobs qui fonctionnent super bien. Ce qui vaudra qqs remarques des coéquipiers d’Alexandre, son adversaire, sur sa taille.
Vient ensuite Serge . Au fait je vous ai dit que JP jouait en premier ? Serge tombe contre Bruce. Banner, Lee, Willis, on sait pas, mais ca fait tout comme. Un gaucher (si si !) avec 4 mètres d’envergure, dans un jour avec. Donc tout ce tente. Serge il le rattrape !
Bilan 0/3
A mon tour je joue en dernier parce que au cas ou vous ne la saviez pas JP jouait en premier. Facile pour les supporters mon adversaire s’appelle Gilles ! Grosse économie de moyens pour les encouragements. Ça bagarre jusqu’à 2 partout puis dans le 5ème , étant mené 7/1 je me dis que je vais échapper au compte rendu …..c’est le moment pour Gilles de se déconcentrer et pour Gilles de se concentrer , ça marche !
Gilles (qui n’a finalement pas échappe au compte-rendu, finalement…)
Le mot d’ordre de la soirée était: « Ne te prends pas la tête et fais ce que tu sais faire ».
Bilan…
Bravo à nos adversaires du soir (dans l’ordre Stéphane, Olivier et 2 Sébastien).
Heureusement qu’on a battu les gamins de Center 4; du coup notre saison est un succès.
Franck.
Ou quand les aînés forcent l’admiration des cadets.
Cela faisait déjà un petit moment que la pression montait, qu’un tel faisait des déclarations fantasques sur le présupposé état de forme de ses troupes ou qu’un tel autre alléguait sur une composition d’équipe au-delà du redoutable (pour nos plus jeunes lecteurs, je tenais à préciser que le mot « tel » n’est pas l’abbrévation de téléphone dont mobile serait un synonyme). Les joueurs se jaugeaient et s’espionnaient depuis plusieurs semaines lors de campagnes de petites envergures ; un match du championnat corpo par ci, un entraînement par là, un open régional en voici, un frotti-frotta dans la box en voilà. Les informations étaient prises (pour nos plus jeunes… dans ce cas précis la prise d’information ne signifie pas la prise du tel de la présupposée croupe en état de forme pre-frotti-frotta, juste…on savait à quoi s’en tenir sur les réelles capacités de nos adversaires) , les corps étaient prêts (pour nos plus j…prêts et non pas près sinon c’est direct le frotti-frotta).
Il fallait en découdre un vendredi 23 (23ème jour de l’année – 10° pour la température extérieure ; le calcul était limpide à mon regard déssillé, le vendredi 13 nous toisait, nous les superstitieux qui mangeons des amulettes pour nos 4 heures). Mais au diable nos potions magiques, nos mantras, coué et sa méthode, nos je-compte-jusqu’à-trois-et-que-si-au-même-moment-elle-croise-mon-regard-alors-qu’un-filet-jaunâtre-s’écoule-de-la-narine-droite-de-mon-voisin-juste-au-moment-où-la-fumée-blanche-aaaaaahhhhhhh-habemus-papam, nos signes de croix compulsifs ou nos hakas sonores chorégraphiés par des maîtres d’arts martiaux se rassasiant honteusement de la rubrique rugbystique du journal l’équipe…
Au diable cette comédie invocatoire, reposons nous sur notre expérience, notre gestuelle engrammée et rendons hommage au fameux mais non moins nid de chien (ou – après consultation d’une encyclopédie- nietzschéen) « ce qui ne te tue pas, te rend plus fort » …et à nos âges (jurassiques et patati et patata, Center 7 avant d’être Center 3, des années il vous faudra), forts nous sommes devenus et de nos jeunes cadets nous rirons à raquette déployée (pour nos plus jeunes…je sais, on devrait dire à gorge déployée mais j’ai préféré désamorcer autant que faire ce peut, désamorcer l’incontrable emballement de nos circuits neuronaux à l’évocation de deux mots, qui placés côte à côte, font masse).
Où en étais-je ? Recentrage…recentrage, le T, le T ou le récit d’une déculo T.
En son royaume (Squash Center), JP marche sur l’eau. Faut pas trop déconner avec JP en ce moment. Faut pas trop se la jouer « je te mets une petite claque sur la joue droite » car toi, après, ton corps c’est un hématome et tes poumons ils ont claqué comme des airbags. Je ne sais pas trop ce qui se passe en vérité; une nouvelle literie, les nouvelles normes européennes sur la quantité maximale autorisée – revue à la baisse – des sulfates dans le vin blanc, les affaires qui reprennent ou je ne sais quoi ou qu’est-ce mais en ce moment, JP, la caisse il l’a. (Non Guilhem…oui…je sais…mais non…je ne parlais de ta dernière livraison…non…bon, enfin… comme tu veux).
Donc, ce soir là, pour Damien, la balle, c’était un peu le jouet extraordinaire mode Claude François, elle faisait :
« Zip quand elle roulait,
Bap quand elle tournait,
Brrr quand elle marchait, et Damien, ne savait pas ce que c’était et je crois qu’il ne le saura jamais ».
Quand un jeune Quentin, aux larges épaules, au bras musculeux et puissant, au regard racé et fier, à l’acmé de sa préparation physique (non là je déconne), s’émiette et s’offre en pâture à Franck, son rapace visiteur du soir. Que dire ? Imaginez un vautour…imaginez un foie, le foie de Quentin par exemple…et bien…hum forcément le foie dévoré par le vaut…
(Oui Ghuilhem ? Ah, non, non plus. Le foie…rien à voir avec ta dernière livraison…non..bon, enfin…comme tu veux).
ça commence à tricoter et à bricoler sévère au royaume de JP. C’est un peu le squash chez les marchands du temple…ça fait du bruit, il y en a partout et pour tout le monde. L’étal de Patrick était somme toute un peu mieux rangé, les alignements plus parallèles mais c’est surtout en fin de soldes qu’il faut garder la tête froide et là, Martin, à force de rabais et de remises, il s’est bouffé la culotte. En affaires, c’est comme pour le reste, l’expérience est un gage de réussite.
Serge, l’atrabilaire du vendredi soir. Semaine chargée, gnagnagni, gnagnagna, se cherche déjà des excuses. Et puis fait totalement nouveau ! Je joue en dernière position et il s’avère que la rencontre est d’ores et déjà gagnée. Le royaume de JP est grand, tellement grand que j’en annexerai bien un bout. En outre, Franck le rapace, déjà rassasié du foie de Quentin, reprendrait bien une tranche.
Bon je vais la faire courte, je démarre mal mais monte en puissance…prend le 1er, me frise les moustaches jsuqu’à 7-3 dans le second…tout est alors trop facile alors pourquoi faire des efforts…j’attaque tout trop tôt…et file les points à Thomas qui n’en demandait pas tant. 1 partout. Après un recadrage en forme du vautour et d’une œillade bienfaisante d’Eric barman du soir en guise de « Serge tu sais ce que tu dois et as à faire », je prends le 3ème. Le quatrième est très bien négocié par Thomas à la faveur d’un intelligent changement de tactique. 4 partout. Et…et si on allait manger, non ?
4/0 pour Thomas…4/4…puis 7/4 pour Thomas et hop 7/7…et 10/7 pour moi et comme d’habitude dès que je me sens fort…10 partout. Mais au royaume de JP, ce soir là…on s’est encore régalé.
12/10 pour moi.
Conclusion : En quatre actes, CENTER 3 s’est fait la 4.
JP est le seul à avoir gagné son match (en pleine forme)
Gilles un peu absent parait-il.
Franck et Serge perdent leur match également…. ca ressemble un peu à Waterloo tout ca…
Celui qui gagne un match fait son compte rendu !
Bon ben c’est pas Gilles… c’est pas Serge…qui qui reste ? Ah… Franck !!!
Gilles joue contre Max. Gilles a mal au dos, il joue style Robocop mais sans les flingues et il avait un diner après donc il fallait faire fissa.
Il a été servi, il perd 3-1 : 11/6, 4/11, 3/11, 5/11
JP enchaine contre Hugo, qui arrive un peu éméché parait-il. il faudra noter la constance de JP. On lui dit de mettre 11 points, il met 11 points (c’est simple le squash). A noter malgré tout une grosse absence au 3eme où il est mené 10-2. Il revient 10-10 mais perd 13-11. (encore un 11). C’est passé comme une lettre à la poste finalement.
Résultat, il gagne 3-1 : 11/6, 11/5, 11/13, 11/8
S’en suit Serge, qui s’est fait marcher dessus par Thomas L. On savait qu’il ne voulait pas faire de compte-rendu mais quand même. Sans commentaire.
Verdict, perdu 3-0 : 10/12, 7/11, 7/11
Enfin, the last but not least, Franck se cogne à Momo, dit le marathonien. Il le fait courir mais cela n’a pas semble le déranger le moins du monde donc Franck court aussi. il sort donc des coups de Jurassien bien trempé (comme un vieux quoi) et gagne on ne sait comment.
Victoire 3-1 : 11/8, 9/11, 11/9, 11/6
Signé : Vox populi (Franck et les bruits de couloirs quoi …)
Je m’y recolle…plus que mes balles.
En préambule, Center 3H aimerait faire part à tous les adhérents de l’ACS, de la petite plainte déposée contre Maître Yoda, avocat du court à la Center 7H, pour usurpation d’identité, faux et usage de faux, utilisation d’une marque déposée à des fins rigolotes.
Monsieur Yoda, votre article en date du 2 décembre dernier, m’aura et je le concède très volontiers fait beaucoup rire, néanmoins je dois vous avouer qu’il n’est pas dans les usages de l’association de s’approprier l’imagerie fédératrice et haute en couleurs (mais surtout en années) d’une autre équipe pour en faire sienne. Le fait de se réclamer sans justification aucune d’une Jurassik Team ou d’une équipe du Jurassique pour les moins anglophones d’entre nous est condamnable. Et même si en votre qualité de Yoda naturaliste des espaces inter-galactiques vous affectionnez avec force – mais comment feriez vous sans elle – cette belle période jurassique riche de sa faune endémique et même si en d’autres circonstances mon seul désir eut été de vous faire plaisir, il est des choses qu’aujourd’hui je ne puis accepter. Et attendre ne sert à rien, le temps n’arrange rien, demain sera aujourd’hui et après demain aussi mais un peu plus tard.
Alors comptabilisez, Monsieur Yoda. Sommez les âges de vos coéquipiers, divisez-en le résultat par le nombre de ces derniers et d’aucuns comprendront la supercherie. A nous le Jurassique, à vous le crétacé. Sifflotons ensemble mais chacun son air.
Ce vendredi dernier, l’authentique Jurassik Team s’est déplacée sur les terres ô combien lointaines limitrophes de l’helvétie ; là où par vent mauvais le reblochon prend une sale odeur de gruyère…
Dans la rubrique anachroniquement votre, il est à noter que ce soir là le crétacé est arrivé avant le jurassique, Center 7H nous devançant de quelques minutes…encore un coup des trous de verre.
Les matchs
Gilles ouvre le bal mais on aurait surtout préféré que de sa housse sa raquette il déballe. Démarrage difficile mais compréhensible…la route était longue, il était au volant, concentré sur une circulation dense…et puis ça sentait la neige et Gilles quand ça sent la neige il est plutôt peau de phoque que peau de balle. Les points s’enchainent comme une interminable suture. 2 jeux partout. Tout est encore possible…il faut y croire néanmoins il ne faudrait pas vendre la peau de l’ours avant de…Et puis un phoque contre un ours, la nature reprend ses droits.
Défaite 3/2
Franck prend la suite…et même prend la fuite en début de match. Face à lui un Fred Legrand vif et impétueux. Le grand prend le 1er jeu. Le jeu est haché, les échanges courts, Franck retrouve de la gratounette et s’octroie le 2ème jeu. Le 3ème ressemble au 1er. Pour le 4ème, Franck décide, après avoir amorti exclusivement côté droit, d’amortir côté gauche et gagne le jeu (et là j’entends S. Jusko jusque dans mes oreilles lui ordonner un rapide recadrage à droite !!!). Le 5ème est plus disputé, quelques échanges qui s’allongent, ça bataille sans couille caille. Fred est déstabilisé. S’ensuivent des coups avec des effets spéciaux des studios Mitj, Fred amorce la réddition.
Victoire 3/2
Serge fait du Serge dans le 1er jeu. Rien n’est en place et rien c’est peu de chose. Nicolas Bellanger en profite et se délecte de vieux coups pourris, de contestations abusives, d’une attitude assez exécrable que j’encaisse mal…Nicolas gagne le 1er. La stratégie devient claire, le faire souffrir. Et cela commence dès le 1er point du second jeu. Le point le plus long. Je le gagne. Il perd le match.
Victoire 3/1
Et en clôture, Olivier. Olivier pour l’inaccessible étoile d’une victoire d’équipe maintes fois désirées…mais le désir est paraît-il source de souffrance. Et bien…on a souffert. Cela dit il a certainement joué son meilleur match depuis longtemps, une défaite en 5 jeux. La souffrance était aussi belle que cruelle.
Défaite 3/2
Serge