Tournoi Loisirs de Pâques


Serge
CENTERDORAK 7
Il traverse tout l’univers
Aussi vite que la lumière
Qui est-il? D’où vient-il?
Formidable robot
Des temps nouveaux
Il jaillit du fond de la mer
Il bondit jusqu’à Jupiter
Qui est-il? D’où vient-il?
Ce terrible géant
Des nouveaux temps
Il arrive du fond du temps
Comme un soleil éblouissant
Qui est-il? D’où vient-il?
Ce merveilleux génie
De l’infini
Il est né d’une galaxie
Aux frontières d’une autre vie
Qui est-il? D’où vient-il?
L’invincible robot
Des temps nouveaux
(*)
Amis poètes, bonjour. Bien évidemment, les plus vieux auront reconnu ce classique, cet hymne, cette ode à la vie.
Il est fort à parier que les plus jeunes, eux, n’y capteront aucune référence familière…j’entends déjà les jérémiades me parvenir « mais c’est quoi, mais c’est qui ??? ».
Prenons le cas du jeune Greg par exemple, éphèbe de son état, je claquais déjà de la parallèle alors qu’il était encore dans les bras de papa qui lui tapotait gentiment les fesses à la recherche du Rôrô libérateur.
Quant au jeune Seb, j’atteignais déjà le classement mirobolant de 517ième français au classement F.F.S alors que lui se secouait secrètement et vigoureusement la nouille dans sa chambre devant la page culottes du magazine La Redoute subrepticement emprunté à sa maman, tout en ayant pris auparavant la précaution de mettre le panneau DO NOT ENTER sur la porte d’entrée.
Je me laisse ainsi le droit se supputer que la fabuleuse histoire de Goldorak ne leur évoque rien…ou peu. MAIS il n’est jamais trop tard.
(*) merdum, j’espère qu’on aura pas de problèmes de droits d’auteur avec Dorothée
C’est soir de R2, c’est avec grand plaisir que nous accueillons nos amis d’Annecy Squash 4. Captain Lolo et Yo sont là pour donner de la voix et pousser à la consomation.
Hastérohache
J’essuie les plâtres en 4. Mon premier match de la saison, contre-temps du à un dos en forme de virgule, voir même de C cédille. Les médisants osent même me comparer à Guillaume Bats…les médisants !
Peu rassuré sur mon état de forme et de jeu, je me lance quand même sur le parquet, contre un autre Philou.
3/0, 17 minutes, 15 points contre (11/4, 11/6, 11/5). Oui on peut dire que ça s’est plutôt bien passé.
Hélicopunch
Eric en 2. Monsieur frime avec son nouveau survet. On a même cru qu’il allait jouer avec mais non, après la chauffe, il plie méticuleusement le pantalon puis la veste, pose l’ensemble délicatement sur la table, non sans bien sûr un petit geste de la main gauche lissant gentiment le tout histoire de dire « C’EST A MOI CA ! ». Oui Eric, on a bien compris et on te promet, on n’y touchera pas à ton costume. Eric remonte ses chaussettes et se rue au combat contre Cédric.
3/0, 16 minutes, 15 points contre (11/1, 11/9, 11/5). Oui on confirme, ça se passe même très bien.
Cornofulgure
Sergio en 1. Il a surement dû mettre un réveil pour le match. Look à la Vignellebarre, barbe de 3 jours, jogging tâché, yeux collés, on se croirait dans un « Lunettes Noires » chez Ardison. Mais il a toujours le sourire Sergio et il nous gratifie de son style félin pour facilement l’emporter sur Olivier.
3/0, 14 minutes, 16 points contre (11/8, 11/2, 11/6)…ah ? un début d’issue ? Là, on est sûr, ça se passe magnifiquement bien.
Fulguropoint
Nico en 4, le barbu rafraîchit, enfin…bien défraichit depuis. Il s’est laissé aller le cochon, encore un petit effort et on pourra le confondre avec Chabal. Mais ce n’est pas que pour le côté esthétique qu’il cultive ce look, il y aussi derrière un souci de préservation de l’environnement. Force est de constater qu’il y a également un réflexe de survie, puisque ça fait aussi office de garde-manger, on a pu le constater plus tard dans la soirée puisque c’était Chili Con Carne au menu, il en avait plein la barbe le saligot !! va savoir ce qu’il en fait, si ça se trouve il le récupère pour nourrir sa famille. Il joue Guillaume.
3/0, merde on sait pas combien de minutes, 16 points contre (11/5, 11/4, 11/7)
Le règlement ne prévoit pas cette cocasse situation. On aurait pu imaginer la faire au temps, mais le marking time n’a pas fonctionné sur le dernier match, et de toute façon le règlement ne prévoit pas cette cocasse situation.
Verdict fait à l’unanimité des voix, ce sera 2 tournées pour le kikipaiesoncoup, une pour Nico, une pour Sergio. Et paf.
C7 est seconde de sa poule, à 2 points derrières Sallanches et 1 point devant Ugine.
Prochain match au break sportif contre Gières le 10 mars prochain.
Cette fois, c’est sûr, pour ce premier déplacement à proximité de Center après 3 sorties dans les pays de Savoie, le capitaine n’aura pas de soucis pour aligner 4 noms sur une feuille de match … Ah ben si ! Encore ! Toujours ! Du bric, du broc et du bras cassé encore convalescent ou soumis à la torpeur hivernale. En face, Echirolles2 pose du solide. Ça sent la pilule… ou plutôt le suppositoire mentholé. D’ailleurs ça se met dans quel sens ce truc ? Vaste débat douloureux depuis plus de 4000 ans. Bref ça sent mauvais ! (Pas le suppo, la rencontre ! Faut suivre un peu !). Dès 20H12, la discussion philosophique trouve sa conclusion : « Captain, tu prends une bière ? ». « Non… deux ! Une pour pour nos funérailles, une pour les oublier ! ».Phil Bourgault s’élance en 4. Encore plus que Noir Dés, il est pressé, demain ya ski avec la petiote et faut pas louper les pistes fraichement damées par les Ratrac surtout quand ya pas de neige en dehors. Monsieur est rapidement servi par Fab Garnier qui distribue et galope à l’envi (sans e j’insiste). Crac 20-33.Greggy le remplace en 1. C’est qu’avec toutes ses victoires de cette saison, son statut a été réévalué et monsieur a désormais des exigen… Boum 16-33. Déjà fini alors que je n’ai même pas eu le temps de terminer d’écrire ma phrase. Une leçon en 3 jeux de Ben Besson plus rapide pour conclure un match que Greg pour changer de grip, ou de surgrip, ou de sousgrip, …Nico se présente en 2 contre Antho Léandri et là c’est le drame rapide, brutal, il prend un jeu puis deux. Tout de suite, l’assistance comprend que ce n’est pas lui qui paiera son coup, le suspens se suspend. Sa défaite en cinq jeux n’est plus qu’anecdotique même s’il s’était procuré une balle de match dans le quatrième. Hu « Il en rougit, le traitre ! ».Loïc doit conclure en 3. Pour sa première participation de la saison, il a un gros challenge : perdre, donc normal, mais en maintenant de l’intérêt pour son match contre Laurent Beck. Corsé. D’autant que le captain y croit dans le premier. Les lèvres de Bouli, Yo et Jeff n’y tiennent plus, elles réclament le verdict final. Ouf il arrive promptement 19-33.Défaite 0/4, nette, sans bavure, avec un Greg qui raque de justesse et avec un compte-rendu quand même rédigé qui permet de pérenniser la tradition et les souvenirs ! Merci C7 et grosse bise à tous les suppos !
UN compte-quoi ???
Je vais vous conter une histoire qui prend racine il y a presque 2 millénaires de cela… ou 2 décennies. C’était un temps ou de jeunes et beaux gladiateurs décidèrent de risquer leurs vies pour leur équipe. Ils commencèrent tranquillement à titiller la compétition en départementale dans une équipe nommée Time 1. Non qu’ils étaient les meilleurs, mais parce qu’il n’y avait qu’une seule équipe.
Ils la firent monter en régionale, recrutèrent des aussi jeunes qu’eux, et quelques plus jeunes, et menèrent fièrement leur équipe, bientôt accompagnée d’autres équipes, tant ils étaient inspirants.
En ces temps glorieux, naquit une forme de religion pour ces guerriers. Non pas celle du kikipaisoncoup qui était déjà appliquée depuis fort longtemps, mais celle du C.R.
Un C.R. n’était pas alors un cercle rond, un circuit rautomobile, ou un con renommé, bien qu’il y en eu… Mais un compte-rendu. Non seulement ces soldats étaient fiers d’être sélectionnés par leur capitaine pour représenter l’équipe le soir venu, mais ils étaient également fiers, d’être choisi ou même de se désigner pour rédiger le compte-rendu qui servait non seulement à informer les non-sélectionnés du résultat de la rencontre, Mais surtout des à-côtés non moins intéressants.
Certes, ils ne furent qu’une poignée à s’être adonnés à cet exercice tout au long de ces années folles, mais pour quel résultat ! Nous revivions alors nos combats acharnés, tels Le petit Prince contre Zarak en leurs temps glorieux,
(Et oui, j’ose !)
nous réécoutions la vie de Martine, icône hétéro de la vieillesse décadente de Beauvais, nous conter ses envies, ses craintes, ses angoisses, nous attisions la colère de serveuses amoureuses de body-builders, nous revivions toute la philosophie étalée sans grand savoir de chacun des joueurs, nous ressentions les cris et encouragements spirituels qui avaient été vociférés, nous étions là !
Nous roulions jusqu’à des clubs et équipes aujourd’hui disparus. La Roche/Foron, City Green, Bourgoin Jallieu, TSV, nous jouions, nous gagnions, nous perdions, nous mangeaillions, nous buvions, … et ces compte-rendus nous faisait le revivre ces moments de joie.
Puis, nous avons rejoint Center et sommes devenus C7, avons intégré de nouveaux joueurs, en avons perdu d’autres, mais nous continuons à faire comme avant. Nous n’écoutons plus Martine qui doit être bien défraichie maintenant, Zarak nous a fait un presque procès, mais nous jouons, perdons, gagnons, racontons toujours autant de conneries, en ayant oublié que nous avons fêté les 40 puis les 50 ans de certains, oublié que les blessures ont eu raison d’autres, oublié que nous prenions plaisir à écrire et à lire ces comptes-rendus. Nous avons aussi découvert que 8 bières ça commence à faire beaucoup et qu’un galopin pour finir la soirée a remplacé le dernier verre chez certains, non pas par résolution, mais parce qu’une bouteille d’un litre dans la voiture n’est plus suffisamment grande pour tenir un voyage de 10 kilomètres !
Nous avons aussi découvert que plus personne n’est fier de vouloir rédiger un compte-rendu et ça, il va falloir que ça change, parce que ça c’est notre deuxième marque de fabrique ! Alors je m’y colle aujourd’hui alors que je n’étais que spectateur silencieux, mais que ça ne se reproduise pas ! Ah, tant que j’y suis, il y avait un match vendredi. On recevait UGINE, 3ème de la poule à 2 points de nous. L’équipe, remaniée au dernier moment était composée d’Eric, Greg, Nico et Phil. Sur place Yo et. Philou avant poussé la balle pendant une heure pour voir s’ils étaient encore apte à jouer. Flo m’a rejoint pour supporter l’équipe avant qu’on ne découvre que Serge traînait dans le coin aussi… Presque au complet donc… Mais pas un volontaire pour le C.R.
Eric, à son habitude est entré stressé sur le court face à Boaventura. Mais à 7-7 dans le premier il a fini par comprendre qu’il devant prendre le dessus. Après la prise du premier jeu, un coaching de dingue de tout un tas de vieux qui essaient de lui dire comment jouer, il remporte son match 3-0 (11-7 / 11-4 / 11-3),
Phil se positionne face à Dimitri, ou plutôt face au poignet de Dimitri. Le temps de commander une bière qu’il faut déjà le coacher après la perte du premier jeu… Pas d’inquiétude, il faut juste qu’il se réveille, dit-il en s’assénant lui-même quelques claques. Chose surprenante, c’était donc vrai, il fallait juste qu’il se réveille pour l’emporter en 3 (6-11 / 11-3 / 11-6 / 12-10),
Greg et Nico, attentifs et inquiets de leurs jeux, me glissent alors à l’oreille un gentil « Chier, Greg a perdu un jeu ».
Greg, entre à son tour, fier de ses 100% de victoires. Son déplacement chaloupé à la Mister Bean ne suffit pas à surprendre Max, son adversaire du soir qui lui ravit le 1er jeu. Le coaching se remet en place et, magie du sport, le Greg s’impose et remporte les 3 suivants (4-11 / 11-9 / 11-5 / 11-8),
Nico, fier de ses 3 défaites en 4 matchs et de son jeu léché à l’entrainement n’a aucun doute quand il entre face à Renaud. Surtout depuis qu’on gagne 3-0. Et c’est avec classe, ou pas, qu’il enchaine les tie-breaks pour l’emporter lui aussi 3-1 (12-10 / 7-11 / 14-12 / 12-10).
Grâce à tous ces points perdus il paiera son kikipaisoncoup, mais pas à toute l’équipe qui elle, avait déjà 2 verres à finir et a dû passer à table avant le rinçage du Nico… C’est donc à une équipe réduite, en digestif, qu’il a payé sa bière aux survivants, et son galopin au Philou…
Les héros du soir !
Kap’ Loïc
Sébastien Le Gall au plus haut de la marche et Fabien Polly 4ème !
En finale, Sébastien, tête de série n°3, qui n’aura concédé que deux jeux dans le week-end, prend le dessus sur Guillaume Noël (B2S Echirolles) et remporte le titre de Champion de Ligue 2023.
Ce week-end s’est tenu à Cuers le championnat de France par équipe Vétérans avec la présence d’une de nos équipe Center composée de Claire, Serge et Franck.
Tête de série numéro 3, notre équipe est diminuée du fait de la blessure de Franck avec une petite déchirure qui rend ses déplacements au mieux aléatoires, au pire impossibles. Mais bon, « sur un malentendu… »
Exempts de premier tour, notre équipe commence en 1/4 de finale contre l’équipe de Movida (Toulouse) avec une victoire. Contre toute attente, Franck malgré sa blessure gagne le 1er match facilement. Claire accroche son adversaire (une gamine!) mais perd le sien. Et Serge conclut avec autorité. Victoire 2-1.
La 1/2 finale se joue contre Cuers (nos bourreaux de l’an passé à Royan au même stade!). Pas de miracle côté Franck qui perd sèchement en 3 jeux le premier match. Puis Claire perd le sien sèchement aussi, malgré une lueur d’espoir dans le 3e jeu. Serge prend sa revanche sur son adversaire de l’an passé avec maîtrise. Défaite 2-1.
Pour la petite finale contre Andrézieux. Cette fois, c’est Claire qui démarre mais ne peut rien et s’incline. Puis à son tour Franck s’incline contre un adversaire aussi diminué que lui dans les premiers échanges (mais lui c’était au Ricard !), il a su se reprendre et envoyer son équipe sur le podium. Serge conclut son tournoi sur une belle victoire (Monsieur 100%), à nouveau indiscutable, contre un adversaire pourtant coriace.
Donc une 4e place pour notre vaillante équipe qui s’est offert un dernier déjeuner sur la plage du Mourillon – en terrasse, avec le bruit des vagues: pas mal pour un 29 Janvier!
Rdv l’année prochaine pour faire mieux !
CR du 02/12/2022 – Rencontre par équipe – Sallanches1/VS/C7Assis nerveusement devant l’écran de son PC, son regard s’intensifie au fur et à mesure de la lecture de son courrier numérique. Ses yeux clignent de plus en plus vite d’excitation tandis qu’il doit réhumecter ses lèvres asséchées par la chaleur du stress qui l’envahit. En cette fin d’après-midi de Novembre 2022, notre valide joueur de C7 est redevenu un quidam de la raquette et pour la première fois depuis le début de la saison, il doute, s’interroge, veut savoir putain… « Alors, j’en suis ? Ya mon nom ? Je vais y aller ? ». Il en a marre de végéter depuis quelques jours dans une incertitude nauséeuse l’obligeant à ravaler des grumeaux alpinistes régulièrement aux prises avec des chutes de restes d’ongles dans la longue paroi de son œsophage. Tant mal que bien surtout avec la vue qui baisse, il lit, et tandis qu’il achève de parcourir le message de son capitaine, le barrage de sa fierté rompt tout net, ses larmes s’enchainent les unes aux autres pour former une rivière de bonheur inondant son visage d’une allégresse sincère. Des sanglots l’enveloppent même dans des soubresauts voluptueux et frénétiques révélant son infinie fierté… car oui c’est officiel, il est élu … comme 3 autres camarades patriotes. A eux Sallanches… dans le département de la Savo… Mais c’est où Sallanches au fait ?Comme pour tous les déplacements hors agglo grenobloise, Sallanches, c’est de l’organisation ! A Claix, lui prend l’autre qui vient de s’apercevoir qu’une voiture électrique grenobloise ne peut aller à Sallanches à plus de 180 km de là, tandis qu’au même instant, sur un vulgaire parking d’hypermarché dans une scène nocturne tarantinesque seulement éclairée par les feux des voitures passantes, un second duo se forme entre les cadavres des bouteilles d’ivrognes crollois jonchant le sol. 18H41, le contact est établi entre les deux binômes ; 20H20, le quatuor arrive à Sallanches. Jeff doit sauter dans son short, foncer sur le court, accélérer la chauffe et vite retourner dans la cabine de douche après un 3/0 net pour Adam son adversaire, un petit peu coquinou dans le deuxième jeu quand notre gaucher menait la manche. Certains parleront d’expérience. 0/1Sallanches, c’est loin ! Donc long ! Donc les langues sont toutes heureuses de pouvoir se délier comme dans le club libertin du Fucking Blue Boy. Et vas-y que Sue Ellen s’est fait lourder de son boulot suite à l’éruption impromptue d’un nouveau JR Ewing dans la boite ; que Jennyfer, 13 ans bientôt 17, est désormais en couple avec le nouveau Balotelli; que certains back up de C7 préfèrent entendre couiner la caravane du chanteur Raphael garée à Montmélian ce soir plutôt que de jouer les félins dans la yaute, … bref indéniablement, ces longs périples éveillent la culture humaine. Alors quand M. Propre Bourgault pénètre l’arène, il veut que ça dure aussi. En 5 jeux très serrés, il sort victorieux de son match contre Thomas (7-11/12-10/9-11/11-9/12-10) et une belle perf méritée à 4B. 1/1Sallanches, c’est froid ! Surtout début Décembre « quand la bise fut venue »! Et c’est à mon tour d’y aller… Mais je veux pas, ça caille trop ! 12 degrés ! Plus froid que Vladi Poutine et sa moue placide en train de préparer l’apéro à Navalny. A rendre plus dure encore, l’érection hivernale d’Olaf à l’approche de la blanche saison. Avec le recul, c’est désormais en héros que je me perçois entrant avec mon passe montagne et mes mitaines sur la glace, prêt à me dégeler les membres avec JB, pas la bouteille de Justerini and Brooks dont j’aurais eu pourtant fort besoin pour me requinquer, mais plutôt mon sympathique hôte du soir. Grace à lui, j’ai pu me rempourprer rapidement, distiller de la sueur et … avaler une nouvelle défaite cette saison. 1/2Sallanches, c’est fait ! Flo l’avait dit et il a tenu parole… comme son humble corps. En effet, bien qu’en bisbilles avec ses adducteurs depuis le début de saison, il nous honore de son unique présence de la phase aller pour le déplacement le plus lointain chez le leader de la poule. Il met en route avec élégance contre Jérémy et pour une fois ça ressemble à du squash: il attaque ou relance à bon escient, ne sort pas de son match pour rebavasser sur l’éviction biscornue de Benzema et mène logiquement 11-7/11-6. A 8-8 dans le troisième, tandis que l’illusion de pom pom girls inuits célébrant notre match nul nous envahit déjà le bonnet, un gros clac vient déchirer son entre-jambes et notre petit espoir. Car malgré une balle de match récupérée à 10/9, il doit abandonner après la perte du troisième jeu. Défaite 1/3Merci à l’assoc’ haute savoyarde pour sa formule pizza + dessert à 10 euros; à Phil. Bourgault le chauffeur de ce périple (mais quelle pipelette ! on sent le mec qui veut faire un break après une dure semaine de labeur); à Flo le copilote pour avoir bien prévenu le précédent qu’un camion transportant des véhicules avait commencé à perdre sa marchandise devant nous sur l’autoroute du retour (mais si, c’est vrai!); à Jeff pour avoir honoré la « kikipaiesoncoup » (mais en fait c’est normal) et à moi parce que je m’aime bien (mais ça aussi c’est normal). ET SURTOUT: ALLEZ NOTRE YO parce que lui, on l’aime vraiment fort !Nico
Le weekend du 10 et 11 Décembre a eu lieu le Championat par équipe de notre ligue régionale, en catégorie Vétérans dans le club d’Andrézieux.
L’ACS était bien représentée avec 2 équipes :
L’équipe composée de Claire – Serge – Franck a brillé puisqu’elle glane la première place en catégorie +45 !!!
Félicitations à eux !
Voici quelques photos de leur journée :